un rapport d’intellectuels catholiques pointe les failles et les biais de la commission Sauvé


Huit membres de l’Académie catholique de France soulignent de graves failles méthodologiques dans le rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE).

Ils sont huit mais pas des moindres. Tous sont membres de l’Académie catholique de France, une instance non liée à l’Église mais créée en 2008 par des laïcs pour fédérer des intellectuels, des scientifiques français de tous les domaines du savoir se reconnaissant dans cette confession chrétienne.

Ces huit osent aujourd’hui se lever pour critiquer sans polémique mais en profondeur le rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE) publié le 5 octobre à Paris.

Une étude critique

Tout y passe. La méthodologie statistique tout d’abord qui a conduit la commission Sauvé, du nom de son président, à passer de «171» personnes réellement sondées et affirmant avoir été victimes d’un prêtre ou d’un laïc catholique, à l’étonnant chiffre de «330.000» victimes abusées par des clercs ou des laïcs travaillant pour l’Église. Les «préjugés» de nature «idéologique» ensuite contre la théologie catholique témoignant d’une «hostilité» et d’une profonde méconnaissance de l’Église par l’équipe de la

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