
Aristote, en son temps, le soulignait déjà à propos du théâtre : l’art a une fonction cathartique. Selon le philosophe grec antique, il est ce qui nous permet d’expurger nos passions. Et les travaux les plus récents en matière de neurosciences confirment cet effet bénéfique !
Mieux, l’art serait thérapeutique. C’est l’observation qu’en fait le neurologue Pierre Lemarquis, auteur de L’art qui guérit (éditions Hazan, 2020). Selon ce spécialiste, si la contemplation d’un tableau nous transporte, c’est notamment parce que l’art provoque des réactions chimiques dans notre cerveau. Face à une œuvre d’art, nous pouvons sécréter de la dopamine et de la sérotonine, hormones du plaisir et du bonheur.
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