Nucléaire: «Au diable les bougies»


L’éditorial du Figaro, par Jacques-Olivier Martin.

Il n’est plus temps de se demander s’il faut réduire la part de la production d’électricité nucléaire, de s’interroger sur le nombre de réacteurs qu’il faut fermer, de multiplier les recours contre les éoliennes ou les panneaux solaires, d’envisager de découper EDF pour faire plaisir à Bruxelles… Non, l’urgence est de disposer de capacités de production d’électricité suffisantes pour échapper aux coupures, aux délestages, ou pire à un black-out les jours de grand froid. La fée électricité est sans réserves pour affronter l’hiver!

Ce défi est le nôtre, mais c’est aussi celui de tous les pays européens qui subissent une flambée des prix parce que les capacités sont trop justes et la dépendance au gaz russe de plus en plus insupportable. Produire plus, le cap est clair, et la France ne manque pas d’atouts pour (re)devenir le grenier à électrons de l’Europe. Elle dispose de nombreux barrages, d’un bel ensoleillement indispensable pour l’essor du photovoltaïque, et d’une large façade maritime…

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