Des zones à faibles émissions pour une meilleure qualité de l’air


La pollution de l’air demeure responsable de 48 000 décès par an en France. Pour agir efficacement contre ce fléau, le Gouvernement instaure des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m).

En plus des quatre ZFE-m déjà existantes (Métropole de Lyon, Grenoble-Alpes-Métropole, Ville de Paris, Métropole du Grand Paris), sept nouvelles vont être créées en 2021 :

  • Métropole d’Aix-Marseille-Provence
  • Métropole Nice-Côte d’Azur
  • Métropole Toulon-Provence-Méditerranée
  • Toulouse Métropole
  • Montpellier-Méditerranée Métropole
  • Eurométropole de Strasbourg
  • Métropole Rouen-Normandie

Le principe ? Dans le périmètre d’une ZFE-m, seuls les véhicules les moins polluants (en fonction de leur certificat Crit’Air) ont le droit d’y circuler. Ce sont les communes qui fixent les périodes où la circulation est restreinte, les types de véhicules concernés (voitures, poids lourds, etc) ainsi que le niveau Crit’Air minimum pour pouvoir circuler. 

Pour circuler dans les zones à faibles émissions pendant les périodes de restriction, il faut :     

6 000 € de prime à la conversion

Par ailleurs, la prime à la conversion, qui est une aide attribuée par l’État, peut aller jusqu’à 6 000€ dans les zones à faibles émissions (contre 5 000 € dans le cas général). L’objectif : encourager l’achat d’un nouveau véhicule moins polluant, neuf ou d’occasion. La condition d’éligibilité : mettre à la casse votre ancien véhicule.



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