ce que la France n’a pas voulu voir


ANALYSE – Les critiques d’élus et de médias australiens auraient pu alerter Paris.

Les dessous de l’affaire des sous-marins ont révélé l’ampleur d’une trahison orchestrée dans le plus grand secret d’abord par le premier ministre australien, puis par son homologue britannique, enfin par le président américain. Trois pays alliés de la France. Mais, au-delà, elle pose des questions sur le fonctionnement de l’appareil d’État français. Car depuis le début de sa signature, de nombreux signaux négatifs étaient venus jeter une ombre sur le «contrat du siècle». Ont-ils été pris à leur juste mesure par la France?

En janvier 2021, des rumeurs de remise en cause du contrat sont relayées par la presse australienne. Elles avaient, à l’époque, été jugées suffisamment importantes pour justifier un déplacement du PDG de Naval Group, Pierre Éric Pommellet, avec à la clé quatorze jours de quarantaine pour cause de Covid. En juin de cette même année, le ministre de la Défense australien affirme devant le Parlement chercher une alternative aux sous-marins français. La partie australienne a

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