

Bobby Kotick ajoute que le capital était près « au cas où AT&T ne pourrait conclure l’affaire » et que les plans pour « une entreprise extraordinaire » étaient simples : Activision pourrait gérer la totalité des licences et des studios JV de la Warner (DC inclus), pendant que la Warner pourrait se charger d’adapter des franchises Activision Blizzard au cinéma, de Call of Duty à Crash Bandicoot en passant par les jeux Blizzard… et pourquoi pas Destiny (ABK était encore l’éditeur de la franchise à l’époque).
On peut se dire que si les plans s’étaient passés comme Kotick le souhaitait, il aurait été beaucoup plus difficile voire impossible pour Microsoft de récupérer un tel titan du marché.