Art-thérapeute, ou comment redonner le goût de vivre par l’art


D’ordinaire, nous tâchons de rencontrer les travailleurs de l’art dans leur environnement naturel. L’idée ? Étudier leurs gestes, écouter leur voix, observer la façon dont ils exercent leur métier au quotidien. Pour Nadine Amorim, il n’a pas été possible d’assister à un atelier d’art-thérapie. Trop sensible : ce serait comme assister à une séance de psychothérapie, un calepin à la main, face à un divan où se dévoile des secrets intimes… Seul notre photographe a pu passer une tête, furtive et discrète, dans une session programmée un vendredi d’avril à la fondation d’art privée Lafayette Anticipations, où l’art-thérapeute retrouve un groupe de neuf personnes suivies dans un service d’addictologie. Ainsi, pour aborder ce métier très particulier, jeune et mal compris, Nadine nous a reçus dans un café du centre de Paris, devant un Perrier… et une tonne d’idées reçues.

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