1. À Strasbourg : le portrait de George Sand par Nadar
Dans les années 1860, la photographie n’est pas encore considérée comme un art. Mais cette technique nouvelle fait fureur auprès des personnalités qui se bousculent pour se faire tirer le portrait en studio. Sauf George Sand qui, complexée par son physique, fuit les séances de pose… Accablée par son « horrible portrait » pris par Richebourg, l’écrivain appelle à la rescousse le célèbre Nadar (1820–1910) qui obtient ce cliché plein de prestance et de mélancolie romantique, très moderne par son cadrage et sa sobriété !
Conservée au musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg, cette photographie n’est pas exposée actuellement.
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