À la fin des années 1930, l’imminence de la guerre pousse à René Magritte à réinventer son art et à peindre « le beau côté de la vie ». Joyeuse, sensuelle et colorée, sa peinture emprunte alors les codes esthétiques de l’impressionnisme et s’inspire plus particulièrement d’Auguste Renoir. Cet été, le musée de l’Orangerie convoque les œuvres solaires des deux maîtres pour une réunion au sommet.