Voilà une exposition qui fait l’effet d’une bombe. À Genève, le musée d’ethnographie donne la parole aux peuples autochtones, premières victimes du réchauffement climatique. Ts’msyen d’Alaska, Māori de Nouvelle-Zélande ou Samis de Fenno-Scandinavie : leurs voix racontent comment les dégradations environnementales menacent leur vie et leur culture au travers de témoignages, d’objets précieux et d’installations. Bouleversant.