
D’origine canadienne, l’homme a été interpellé aux USA en février 2022 et condamné à 40 mois de prison ferme, mais vient d’être libéré seulement 1 an après pour bonne conduite. Ce qui ne l’empêchera de devoir purger « l’autre » partie de sa peine : celle de devoir régler la coquette somme de 14,5 millions de dollars en dommages et intérêts, dont 10 millions directement à Nintendo (qui a la priorité sur la somme réclamée).
Dans une interview accordée à Nick Moses, Gary Bowser a confirmé avoir conclu un accord (validé) avec Nintendo : dans l’impossibilité de devoir régler une telle somme, l’entreprise prélèvera de 25 à 30 % de ses revenus bruts mensuels, et vu son âge (53 ans), autant dire qu’il paiera jusqu’à la fin de ses jours sans même atteindre le remboursement complet. Qu’importe pour Nintendo dont l’avocat voyait surtout dans cette affaire « une occasion unique » d’envoyer un message clair au public.