Gérard Fromanger, un peintre adepte du rouge sang


Quand il revient aux Beaux-Arts de Paris en 1968 pour les occuper, y produire des affiches et enchaîner les AG, Gérard Fromanger a 29 ans et déjà entamé une carrière qu’il veut en rupture avec l’ordre ancien. Étudiant, il quitte ainsi le quai Malaquais au bout de dix-huit jours de cours seulement. « C’était épouvantable », se souvenait-il, quand on l’avait rencontré à l’occasion de sa rétrospective au Centre Pompidou, en 2016. Au début des années soixante, la mode était à la peinture « bonnardisante. On y apprenait à peindre sa petite maîtresse à la fenêtre avec son chat, des bouquets de fleurs… ». Très peu pour lui qui préfère fréquenter les académies et les brasseries de Montparnasse, où palpite la vie.

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