Garantir un accès aux soins


  • 750 contrats d’assistants médicaux signés
  • Déploiement de 600 postes de médecins généralistes salariés ou à exercice mixte ville-hôpital en territoires ruraux
  • Stages d’internes en médecine dans les territoires ruraux

LE CONSTAT : un accès aux soins inégal

Les habitants des territoires ruraux sont particulièrement concernés par les difficultés d’accès aux soins, en raison de la baisse du nombre de médecins. Pour y pallier, le Gouvernement a pris de nombreuses mesures pour garantir l’accès aux soins de tous, notamment dans le cadre de l’Agenda rural.

LES MESURES : développer l’offre médicale dans les territoires ruraux

1. Création de postes d’assistants médicaux

Pour libérer les médecins de certaines tâches et leur permettre de se recentrer sur leur coeur de métier, le Gouvernement a permis la création de postes d’assistants médicaux, accomplissant des tâches administratives, de coordination et d’aide à la consultation, en appui au médecin.
 

  • En l’espace de 5 mois, plus de 750 contrats d’assistants médicaux ont été signés, ou sont en passe de l’être, majoritairement en zone rurale.

Les médecins signataires de ces contrats s’engagent à augmenter leur patientèle, en contrepartie de l’aide financière apportée par l’Assurance maladie. Cela représente l’équivalent de 39 500 patients supplémentaires bénéficiant d’un médecin traitant généraliste, et de 110 000 patients supplémentaires pris en charge par un médecin spécialiste.

2. Création de postes de médecins généralistes salariés ou à exercice mixte ville-hôpital en territoires ruraux.

Après avoir annoncé dans le cadre de la stratégie “Ma Santé 2022”, le déploiement de 400 postes de médecins généralistes salariés ou à exercice mixte ville-hôpital, le Gouvernement a rehaussé ce chiffre à 600 pour répondre aux besoins des territoires ruraux.
 

  • Depuis septembre 2019, 115 médecins salariés ont d’ores et déjà été recrutés dans les zones sous-denses.

3. Déployer les stages d’internes en médecine en territoires ruraux

Depuis la loi Santé du 24 juillet 2019, les étudiants de médecine générale doivent réaliser au cours de leur dernière année « au minimum un stage d’un semestre en pratique ambulatoire », en priorité dans une zone sous-dense, soit l’objectif de 1 500 stages supplémentaires réalisés en territoire rural.

 



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