ce que les études nous apprennent sur sa véritable contagiosité


DÉCRYPTAGE – Plusieurs laboratoires ont réalisé des études in vitro pour mieux comprendre les raisons profondes de ce que l’on connaît du comportement de ce nouveau variant.

En schématisant, il existe deux manières d’étudier les caractéristiques d’un nouveau variant. La première consiste à regarder les données épidémiologiques (évolution du nombre de cas, d’hospitalisations et de décès) pour estimer sa contagiosité, sa dangerosité, sa capacité d’échappement immunitaire, etc. La deuxième consiste à l’étudier en laboratoire pour tenter de mieux comprendre in vitro les raisons profondes de ce que l’on observe en vie réelle.

Pour le variant Omicron, les données épidémiologiques sud-africaines ont par exemple montré plusieurs choses: le virus se diffuse extrêmement rapidement (au moins deux fois plus vite que le Delta) ; le risque de réinfection est deux à trois fois plus élevé ; la protection conférée par une vaccination à deux doses est significativement réduite ; proportionnellement au nombre d’infections, le nombre d’hospitalisations et de décès est très réduit par rapport aux précédentes vagues et la durée d’hospitalisation est plus courte.

Tissus pulmonaires

En somme, Omicron…

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