après Sandrine Rousseau, Marine Le Pen également visée par des tags pro-Zemmour


La candidate du Rassemblement national a porté plainte contre X pour la dégradation de sa résidence.

C’est la troisième fois en une semaine qu’une personnalité politique est prise pour cible. Au lendemain de la dégradation du domicile de l’ancienne finaliste de la primaire écologiste Sandrine Rousseau par, selon elle, des «militants pro-zemmour» qui ont «tambouriné» à sa porte et «collé des tracts», c’est au tour de Marine Le Pen de subir le même sort. Selon l’hebdomadaire Marianne , le domicile de l’ancienne patronne du RN à Celle Saint-Cloud (Yvelines) a été la cible de tags en soutien du candidat de Reconquête! dans la nuit de mercredi à jeudi. Des affiches ont également été placardées sur sa porte, rapporte le journal. Celle qui se présente pour la troisième fois à l’élection présidentielle a donc porté plainte contre X.

Cet énième «coup» prend la suite d’une série de faits similaires qui se sont déroulés tout au long de la semaine : la permanence du député LFI Adrien Quatennenns avait été dégradée par des tracts en faveur de l’ancien polémiste mercredi, et des menaces de mort avaient été proférées par des militants d’extrême-droite, se revendiquant sympathisants d’Éric Zemmour, à l’encontre des Insoumis Alexis Corbière et son épouse Raquel Garrido dans une vidéo publiée lundi.

Zemmour se désolidarise

Mercredi soir, le candidat nationaliste a sérieusement condamné ces attaques en prenant ses distances avec les auteurs. «Vous ne faites partie ni de mes sympathisants, ni de mes militants, et encore moins de mes amis. Je condamne par avance tout ce que vous ferez en mon nom pendant ma campagne. Je ne veux ni de votre soutien, ni de votre aide», avait écrit Éric Zemmour via un communiqué.

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