REPORTAGE – Lors d’un meeting au Zénith de Paris le 5 décembre, l’essayiste dévoilera son mouvement auquel ses soutiens pourront adhérer.
Envoyé spécial à Londres
Son «appel de Londres» aura, forcément, trouvé un écho différent. Préparée de longue date, l’étape britannique d’Éric Zemmour se devait d’être l’un des moments forts de sa précampagne présidentielle. Toujours non-candidat, l’essayiste voulait profiter de cette nouvelle séquence internationale pour peaufiner sa stature aux côtés de responsables politiques étrangers ; parler à l’importante communauté française sur place. Sans oublier, bien sûr, de solliciter sa générosité en vue de l’échéance présidentielle à venir…
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Une ambition quelque peu contrariée par une série de déconvenues qui se seront accumulées toute la semaine durant. En tête, le refus d’élus de le rencontrer et l’annulation à la dernière minute par The Royal institution de la location de son amphithéâtre par peur d’un «préjudice réputationnel». Pour sa réunion publique, l’essayiste aura donc dû troquer le prestigieux «lecture théâtre» de l’institution pluri centenaire pour une salle de conférences plus modeste,